Dans l’actualité : septembre 2023
Lors d'un voyage en septembre, notre directeur exécutif, Jeff Robertson, a été interviewé par Derek Fage, animateur de daytime Ottawa, au sujet de la MPR, du travail de la Fondation canadienne de la MPR et de nos événements de septembre. Regardez l'interview ici sur la chaîne YouTube de daytime Ottawa.
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Une femme locale sensibilise le public à une maladie potentiellement mortelle
Nina Young, la fondatrice de notre section de Corner Brook, qui vit maintenant à Orillia, a été interviewée par Orillia Matters et Orillia Today ce mois-ci à l'occasion de la journée de sensibilisation à la MPR.
Une femme de la région s'efforce de sensibiliser le public à une maladie potentiellement mortelle qui a eu un impact profond sur sa vie et sa famille.
Depuis qu'elle a été diagnostiquée à l'âge de 11 ans, Nina Young vit avec la maladie polykystose rénale, une maladie génétique qui provoque la croissance de nombreux kystes sur les reins d'un patient, ce qui finit par les faire grossir et conduit souvent à une insuffisance rénale.
La plupart des membres de sa famille ont eu la malchance de développer la MPR, et beaucoup sont décédés après des épisodes de la maladie - y compris sa mère, qui n'avait que 45 ans lorsqu'elle est décédée.
"Six personnes sur neuf sont décédées des suites de la maladie", a déclaré Mme Young à OrilliaMatters. "La maladie s'est répandue dans ma famille, et ils ont fait de leur mieux avec la technologie dont ils disposaient à l'époque.
Lire l'article complet ici.
La ville d'Orillia soutient la sensibilisation à une maladie mortelle en organisant une cérémonie de lever du drapeau
La maladie qui lui a été diagnostiquée à l'âge de 11 ans a fait des ravages dans sa famille immédiate et a entraîné la mort prématurée de plusieurs de ses proches, mais Nina Young espère que le financement de la recherche résultant d'une prise de conscience accrue permettra de trouver un remède.
Nina Young a quitté Terre-Neuve pour s'installer à Orillia après le décès de six membres de sa famille proche, dont sa mère à l'âge de 45 ans, à la suite d'un combat contre la maladie polykystose rénale, afin d'être proche des membres de sa famille élargie, dont Janet Lynn-Durnford, conseillère municipale.
Alors qu'une journée nationale de sensibilisation à la MPR existe depuis 2014, la ville d'Orillia l'a reconnue pour la première fois localement en organisant une cérémonie de levée du drapeau le 4 septembre devant l'Opéra d'Orillia.
Lire l'article d'Orillia Today ici.
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Les essais de greffes de rein d’animaux sur des humains se poursuivent
Des médecins ont tenté de greffer des reins de porc sur des corps donnés à la science. Or, l’un des reins a fonctionné pendant plus d’un mois! Alors que plus de 100 000 personnes aux États-Unis attendent une greffe, cette expérience constitue une avancée considérable dans la recherche en matière de greffes, laissant entrevoir l’espoir que les organes d’animaux puissent un jour servir à sauver des vies humaines. Pour lire l’article et visionner la vidéo correspondante, cliquez ici.
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Faire de ses émotions une œuvre d’art
Abby Jimenez, auteure de livres à succès du New York Times, a inclus un rebondissement d’intrigue digne de ce nom dans son dernier roman : une greffe de rein salvatrice. Ce qui l’a inspirée? Son propre diagnostic de maladie rénale. Apprenez-en plus sur son nouveau roman, Yours Truly, ici.
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Une femme et son époux avaient « une chance sur 22 millions » d’être compatibles pour une greffe de rein
Quand Darren Creed, un patient atteint de la MPR demeurant à Leicester, au Royaume-Uni, a commencé à chercher un·e donneur·euse d’organe, il était à mille lieues d’imaginer que sa femme Donna serait compatible avec lui. L’association Kidney Care UK estime que le couple avait une chance sur 22 millions d’être compatible. Apprenez-en plus sur cette histoire de greffe touchante ici.
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Un rein de porc fonctionne pendant plus d'un mois chez un homme en état de mort cérébrale, un pas en avant vers les greffes animal-humain
Des chirurgien·ne·s du NYU Lagone Health ont greffé un rein de porc sur un patient en état de mort cérébrale. Ce rein a fonctionné normalement pendant plus d’un mois, ce qui constitue une avancée majeure pour ce type d’opération. L’équipe new-yorkaise espère donc pouvoir bientôt effectuer ce genre de greffe sur des patient·e·s vivant·e·s. Apprenez-en plus sur cette innovation en matière de greffes juste ici.